Sophie RIEHL

égrégore collectif

Auteure de la publication

Soyons conscients de nos pensées et de nos émotions

Nous sommes de puissants créateurs, que nous en soyons conscients ou non, par la qualité de l’attention vibratoire dont nous nourrissons certaines croyances ou certains concepts. Comme nous sommes tous reliés énergétiquement, puisque nous baignons dans l’océan Source, nous nous influençons les uns les autres. C’est pour cette raison que lorsqu’une personne fait un travail de libération personnelle, cela profite au collectif. De la même manière lorsqu’un choc émotionnel touche une personne, cela vient nourrir la blessure dans sa globalité. Certains ont bien compris cela, c’est la manipulation des médias et de certains événements… Il est donc important de se concentrer sur notre pouvoir personnel et choisir ce que l’on dégage de Soi. Le meilleur choix étant toujours l’Amour bien sûr puisque c’est l’énergie créatrice universelle.

Plus la situation est souffrante (colère, peine ou peur) plus elle a besoin de cet Amour intrinsèque. Celui-ci ne juge pas mais soulage et guérit. Je pense que la plus grande blessure de l’être, celle qui se retrouve à tous les niveaux, est l’injustice, où il y a un dominant et un dominé. Cela nous maintient dans la dualité, le pour ou le contre, avoir raison ou tort. Le besoin de reconnaissance extérieur est très fort, véhiculé par les codes sociaux et économiques.

En anecdote, j’étais dans le bus parisien ce matin et une dame vitupérait contre les gens qui passent par le milieu du bus et ne paient pas leur trajet alors qu’elle, en tant que retraitée, payait « plein pot ». Est-ce que le fait de dégager cette colère change la situation ? Non. Elle la nourrit, affecte les personnes autour d’elle et entretient la séparation et l’injustice. Ne serait-il pas plus gratifiant et plus sain que cette personne remercie d’avoir les moyens de s’acheter ses tickets et profite du trajet ? Il est temps d’arrêter ce scénario en revenant dans notre intériorité. En commençant par nous reconnaître nous-même, avec suffisamment de puissance pour ne plus dépendre d’une approbation extérieure. Il s’agit de se valider en tant qu’enfants divins, dont la Vie (la Conscience Source d’Amour) est le bon parent. C’est ainsi que l’on trouve la véritable paix.

Donc lorsqu’un grand nombre de personnes porte son attention sur un événement ou un rituel, cela le charge énergétiquement. Cela forme ainsi comme un nuage consistant, ce qu’on nomme un égrégore. Il en existe de nombreux, positifs ou négatifs. Quel est l’égrégore que l’on vient de traverser ? La fête des mères. Cela peut paraître étonnant, mais c’est un rituel implanté dans l’inconscient collectif qui chaque année se charge de l’expérience de chacun, selon l’intensité émotionnelle dont on le nourrit. Comme nous y sommes reliés, cette charge énergétique vient agir dans notre intériorité, faisant résonner la problématique ou la résolution du programme inconscient mère/enfant. Prenez quelques instants d’introspection pour sentir comment vous avez vécu, sur le plan intérieur bien sûr cette journée, la veille et le lendemain. Est-ce que tout s’est bien passé, est-ce que cela a réveillé d’anciennes émotions enfouies ? Profitez-en pour pacifier tout cela, en y mettant votre amour.

Garder notre intégrité intérieure

Tout au long de l’année nous traversons ainsi pleins d’égrégores qui nous influencent plus ou moins fortement suivant notre histoire personnelle et nous maintiennent dans un certain niveau de conscience. Prenons par exemple Noël, fête familiale par excellence, forte période de dépression pour certains. Cela montre au niveau collectif la problématique de tout ce qui est déviant au niveau familial. La séparation, l’absence, les conflits, le manque de communication au lieu d’une véritable reliance et d’une authentique fraternité. Nous connaissons aussi les commémorations issues des anciennes guerres, maintenant la réalité et le souvenir de celles-ci et la dualité.

Il s’agit donc ici aussi de procéder à un réajustement en honorant bien sûr les actes de bravoure mais en intégrant la leçon (est-ce que la guerre est une solution) en sachant aussi que les âmes sont parties depuis longtemps sur d’autres plans, voire même réincarnées, et que ce n’est pas en reproduisant toujours le même rituel, la même situation qu’on peut s’attendre à un résultat différent. Pour changer notre réalité il faut d’abord modifier nos perceptions intérieures de celle-ci. Par exemple, en voyageant dans le temps avec davantage de conscience.

Quand vous adhérez à un groupe, à une association, vous engrangez un collectif de conscience (j’en profite pour glisser un message personnel dans cet article : merci de ne pas me faire adhérer à des groupes sur Facebook sans ma permission). Agissez donc avec discernement pour nourrir positivement la nouvelle réalité. Celle de la réunification avec notre divinité et le retour à la véritable fraternité galactique.

Conditionnés par les comportements humains, nous avons des fois du mal à nous abandonner à l’infinie bienveillance de la Vie. Ainsi pour vous aider à rétablir dans vos monde intérieurs cette authentique relation, je vous invite à écouter ou réécouter ma méditation des parents divins, pour informer vos cellules qu’il est possible d’être aimé et de recevoir inconditionnellement.

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